Plan Local d’Urbanisme

Le plan local d’urbanisme (PLU) est un document de planification urbaine. Il a pour objectif de maîtriser les développements du territoire communal et de permettre la mise en œuvre du projet de la ville. C’est à la fois :

Publié le – Mis à jour le

  • Un projet politique : il expose les orientations d’aménagement choisies par la municipalité pour l’évolution de la ville à long terme
  • Un outil réglementaire : il détermine les règles d’occupation des sols et encadre les projets de constructions et d’aménagement de la ville.

Ces règles s’imposent à tous : tout projet doit respecter les règles du PLU en vigueur, même si les travaux ne sont pas soumis à autorisation préalable. Certains travaux doivent également faire l’objet d’une demande d’autorisation d’urbanisme (permis de construire, de démolir, déclaration préalable de travaux).

Le PLU

Le PLU approuvé par délibération du Conseil Municipal du 9 décembre 2013 , a fait l’objet d’une révision approuvée le 24 septembre 2024.

Retrouvez les délibérations et les pièces annexes sur le site du Géoportail de l’urbanisme. 

Le Guichet Numérique des Autorisations d’Urbanisme

Le Guichet Numérique des Autorisations d’Urbanisme (GNAU) est un outil permettant au public et à l’administration de dématérialiser l’instruction des autorisations d’urbanisme des dossiers mairie.

Cadastre

La consultation du cadastre est accessible en ligne gratuitement, n’hésitez à le consulter

Le service urbanisme vous accompagne dans la constitution de vos dossiers de demande. Pour toute question ou demande de rendez vous adressez-vous à urbanisme@longjumeau.fr

Une pension alimentaire peut-elle être demandée quand l’enfant est majeur ?

Oui, c’est possible, car l’obligation alimentaire des parents envers leurs enfants est sans limite d’âge. La demande de pension alimentaire peut être présentée par l’enfant majeur ou par le parent qui en assume seul la charge. Nous vous présentons les informations à connaître.

Séparation des parents

    Vous pouvez réclamer une pension alimentaire à l’autre parent si votre enfant majeur dépend financièrement de vous et que vous êtes seul à en assumer la charge.

    Il faut prouver que votre enfant est dans le besoin, qu’il n’a pas d’autonomie financière. C’est le cas notamment si votre enfant n’a pas de revenus (étudiant ou au chômage) ou s’il a des revenus insuffisants (intérim, temps partiel, contrat d’alternance…).

    Votre enfant majeur doit justifier de sa situation au parent à qui la pension alimentaire est demandée. Ces justificatifs doivent indiquer qu’il poursuit ses études (certificat de scolarité), qu’il recherche un emploi ou suit une formation.

    Vous pouvez demander une pension alimentaire amiablement à l’autre parent. En cas de refus, vous pouvez faire une demande en justice en saisissant le  Jaf .

    Savoir à qui demander la pension en cas d’adoption de l’enfant

    Les effets de l’adoption sur l’obligation alimentaire sont différents selon la forme de l’adoption (simple ou plénière).

    En cas d’adoption plénière les parents d’origine n’ont aucune obligation alimentaire vis à vis de leur enfant biologique sauf s’il s’agit d’une adoption par le conjoint. Dans ce cas le conjoint parent d’origine reste tenu par l’obligation alimentaire.

    En cas d’adoption simple, on peut demander l’obligation alimentaire aux parents d’origine si l’on ne parvient pas à l’obtenir de l’adoptant. On dit que l’obligation alimentaire du parent d’origine est subsidiaire.

    En cas d’adoption de l’enfant du conjoint (simple ou plénière), chaque membre du couple peut demander à l’autre une pension alimentaire.

    En cas d’adoption plénière de votre enfant par votre conjoint, vous ne pouvez pas demander de pension alimentaire à l’autre parent biologique.

    En cas d’adoption simple de votre enfant par votre conjoint, vous devez d’abord demander la pension alimentaire au parent adoptif. Si vous n’arrivez pas à l’obtenir vous pouvez dans ce cas demander au parent d’origine.

    Demande amiable de pension alimentaire

    Vous pouvez faire une demande de fixation amiable de pension alimentaire en vous adressant directement à l’autre parent. Vous pouvez le faire, par exemple, dans un courrier invitant l’autre parent à trouver un accord.

    Un médiateur familial peut vous aider à trouver cet accord.

    En cas d’accord, vous pouvez décider de la forme et des conditions de versement de cette obligation alimentaire.

    Il est recommandé de rédiger une convention parentale qui doit être datée et signée.

    Cette convention peut être homologuée par le Jaf pour lui donner force exécutoire.

    Où s’adresser ?

     Tribunal judiciaire 

    Si la démarche amiable échoue, vous devez saisir le juge.

    Demande en justice de pension alimentaire

    Vous pouvez demander la pension alimentaire par requête adressée au Jaf.

    Avant toute procédure devant le Jaf, il est fortement recommandé de tenter la conciliation avec l’autre parent.

    Si vous ne faites pas cette tentative de résolution amiable, le Jaf peut proposer une mesure de médiation.

    La demande de pension alimentaire se fait à l’aide d’un formulaire :

  • Demande au juge aux affaires familiales (autorité parentale, droit de visite, pension alimentaire…)
  • L’avocat n’est pas obligatoire pour cette procédure.

    La demande doit être adressée au tribunal judiciaire dont dépend le domicile du parent qui assume à titre principal la charge de l’enfant majeur.

    Où s’adresser ?

     Tribunal judiciaire 

    Procédure de recouvrement forcé

    Si la pension alimentaire n’est pas versée, vous pouvez l’obtenir avec une procédure de recouvrement forcé.

    Il existe différentes possibilités pour récupérer les sommes.

    Procédure pénale

    Si le parent débiteur de la pension ne paye pas intégralement la pension alimentaire pendant plus de 2 mois, vous pouvez déposer plainte pour abandon de famille.

    À savoir

    Le délit d’abandon de famille est puni d’une peine pouvant aller jusqu’à 2 ans d’emprisonnement et 15 000 € d’amende.

    Si vous êtes majeur, vous pouvez demandez une pension alimentaire à vos parents ou à l’un d’entre eux, qu’ils soient séparés ou non.

    Vous devez être dans le besoin, sans autonomie financière. C’est le cas notamment si vous n’avez pas de revenus (étudiant, ou au chômage) ou si vous avez des revenus insuffisants pour subvenir à vos besoins (intérim, temps partiel, contrat d’alternance…).

    Vous devez justifier de votre situation au parent à qui vous demandez la pension alimentaire. Vos justificatifs doivent indiquer que vous poursuivez vos études (certificat de scolarité), que vous recherchez un emploi ou suivez une formation…

    Vous pouvez faire une demande amiable de pension alimentaire à vos parents ou l’un d’eux. En cas de refus, vous pouvez faire une demande en justice en saisissant le  Jaf .

    Savoir à qui demander la pension en cas d’adoption de l’enfant

    Les effets de l’adoption sur l’obligation alimentaire sont différents selon la forme de l’adoption (simple ou plénière).

    En cas d’adoption plénière les parents d’origine n’ont aucune obligation alimentaire vis à vis de leur enfant biologique sauf s’il s’agit d’une adoption par le conjoint. Dans ce cas le conjoint parent d’origine reste tenu par l’obligation alimentaire.

    En cas d’adoption simple, on peut demander l’obligation alimentaire aux parents d’origine si l’on ne parvient pas à l’obtenir de l’adoptant. On dit que l’obligation alimentaire du parent d’origine est subsidiaire.

    En cas d’adoption (simple ou plénière) par le conjoint de votre parent d’origine, vous pouvez demander la pension alimentaire à ce couple de parents, ou à un seul d’entre eux.

    En cas d’adoption plénière par le conjoint d’un de vos parents d’origine, vous ne pouvez pas demander de pension alimentaire à votre autre parent biologique.

    En cas d’adoption simple par le conjoint de votre parent d’origine, vous devez d’abord demander la pension alimentaire à ce couple de parents. Si vous n’arrivez pas à l’obtenir vous pouvez réclamer la pension à votre autre parent d’origine.

    Demande amiable de pension alimentaire

    Vous pouvez demander une pension alimentaire en vous adressant directement à vos parents ou à l’un d’eux.

    Cette tentative peut se faire, par exemple, en adressant un courrier invitant votre ou vos parents à trouver un accord amiable.

    Un médiateur familial peut vous aider à trouver cet accord.

    En cas d’accord, vous pouvez convenir de la forme et des conditions de réalisation de cette obligation alimentaire.

    Il est recommandé de rédiger une convention qui doit être datée et signée.

    Cette convention peut être homologuée par le  Jaf  pour lui donner force exécutoire.

    Demande en justice de pension alimentaire

    Vous pouvez demander la pension alimentaire par requête adressée au Jaf.

    Avant toute procédure devant le Jaf, une tentative de conciliation est fortement recommandée.

    Si vous n’avez pas effectué cette tentative de conciliation, le Jaf peut proposer une mesure de médiation.

    La demande d’obligation alimentaire au Jaf se fait à l’aide d’un formulaire :

  • Requête en obligation alimentaire – Saisine du juge aux affaires familiales
  • L’avocat n’est pas obligatoire pour cette procédure.

    Votre demande doit être adressée au tribunal judiciaire dont dépend votre domicile.

    Où s’adresser ?

     Tribunal judiciaire 

    À noter

    Seul le parent qui apporte la preuve qu’il est dans l’incapacité de payer cette obligation alimentaire peut demander à en être dispensée. Par exemple, si le parent preçoit le revenu de solidarité active (RSA).

    Procédure de recouvrement forcé

    Si la pension alimentaire n’est pas versée, vous pouvez l’obtenir avec une procédure de recouvrement forcé.

    Il existe différentes possibilités pour récupérer les sommes.

    Procédure pénale

    Si le parent débiteur de la pension ne paye pas intégralement la pension alimentaire pendant plus de 2 mois, vous pouvez déposer plainte pour abandon de famille.

    À savoir

    Le délit d’abandon de famille est puni d’une peine pouvant aller jusqu’à 2 ans d’emprisonnement et 15 000 € d’amende.

    Structure