
Aide juridictionnelle
Publié le – Mis à jour le
L’aide juridictionnelle est une aide accordée par l’État aux personnes qui veulent faire valoir leurs droits en justice et qui disposent de faibles ressources. Les bénéficiaires peuvent être mis en examen, prévenus, accusés, condamnés, parties civiles, témoins assistés, etc.
Conditions :
- Vos ressources sont inférieures à un plafond
- L’action en justice envisagée n’est pas irrecevable ou dénuée de fondement
- Vous ne disposez pas d’une assurance de protection juridique couvrant les frais
Pour savoir si vous avez droit à l’aide juridictionnelle et calculer vos droits, vous pouvez utiliser ce simulateur.
Dans quels cas un enfant est-il Français ?
La nationalité française d’un enfant, qu’il soit né en France ou non, dépend principalement de la nationalité de ses parents.
Un enfant est Français de naissance, c’est-à-dire par filiation, si au moins l’un de ses parents est Français.
Peu importe que l’enfant soit né en France ou à l’étranger.
Et peu importe que les parents soient mariés ou non, du moment que la filiation de cet enfant est légalement établie à l’égard du parent français.
La nationalité d’un parent est constatée le jour de la naissance de l’enfant et durant sa minorité.
La nationalité française de l’enfant reste acquise même si sa filiation est contestée après sa majorité.
Si le parent perd la nationalité française alors que son enfant est majeur, cela n’a pas d’effet sur la nationalité de l’enfant.
Si le parent devient Français alors que son enfant est majeur, cela n’a pas d’effet sur la nationalité de l’enfant.
L’enfant réside habituellement avec ce parent (ou alternativement en cas de divorce ou de séparation)
Le nom de l’enfant est indiqué dans le décret de naturalisation ou la déclaration de nationalité française du parent (mariage, ascendant, frère ou sœur)
L’enfant mineur devient Français lorsque l’un de ses parents devient Français si les 2 conditions suivantes sont remplies :
Si le parent devient Français alors que son enfant est majeur, cela n’a pas d’effet sur la nationalité de l’enfant.
Seule l’adoption plénière attribue la nationalité française à la naissance .
En effet l’adoption plénière attribue à l’enfant une nouvelle filiation qui remplace sa filiation d’origine.
L’adoption décidée à l’étranger a un effet sur la nationalité de l’enfant adopté uniquement si elle correspond à une adoption plénière en France.
Au moins l’un de ses parents est né en France (quelle que soit sa nationalité)
Ou au moins l’un de ses parents est né en Algérie avant le 3 juillet 1962
Ou il est né apatride en France
Un enfant né en France de parents étrangers est Français de naissance uniquement dans l’une des 3 situations suivantes :
Nationalité française
- Nationalité française
- Carte d’identité
- Passeport
- Titres, cartes de séjour et documents de circulation pour étranger en France
- Nationalité française d’un enfant né en France de parents étrangers
- Nationalité française d’un enfant adopté
- Nationalité française d’un enfant recueilli ou confié à l’Aide sociale à l’enfance
- Code civil : articles 18 à 18-1
Français par filiation - Code civil : articles 19 à 19-4
Français par naissance en France - Code civil : articles 20 à 20-5
Disposition sur la nationalité française d’originge - Code civil : articles 22 à 22-3
Effets de l’acquisition de la nationalité française
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Annuaire des équipements de la ville, Annuaire des services municipaux, Social: Centre Communal d’Action Sociale (CCAS)
Adresse : 86 Boulevard du Docteur Cathelin 91160 LongjumeauHoraires :
Lundi 8:30-12:30 13:30-18:00;
Mardi 8:30-12:30 14:30-18:00;
Mercredi de 8:30 à 12:00;
Jeudi 8:30-12:30 13:30-18:00;
Vendredi 8:30-12:30 13:30-18:00