
Plan Local d’Urbanisme
Publié le – Mis à jour le
- Un projet politique : il expose les orientations d’aménagement choisies par la municipalité pour l’évolution de la ville à long terme
- Un outil réglementaire : il détermine les règles d’occupation des sols et encadre les projets de constructions et d’aménagement de la ville.
Ces règles s’imposent à tous : tout projet doit respecter les règles du PLU en vigueur, même si les travaux ne sont pas soumis à autorisation préalable. Certains travaux doivent également faire l’objet d’une demande d’autorisation d’urbanisme (permis de construire, de démolir, déclaration préalable de travaux).
Le PLU
Le PLU approuvé par délibération du Conseil Municipal du 9 décembre 2013 , a fait l’objet d’une révision approuvée le 24 septembre 2024.
Retrouvez les délibérations et les pièces annexes sur le site du Géoportail de l’urbanisme.
Le Guichet Numérique des Autorisations d’Urbanisme
Le Guichet Numérique des Autorisations d’Urbanisme (GNAU) est un outil permettant au public et à l’administration de dématérialiser l’instruction des autorisations d’urbanisme des dossiers mairie.
Cadastre
La consultation du cadastre est accessible en ligne gratuitement, n’hésitez à le consulter
Téléchargement illégal (Arcom) : quelles sont les règles ?
Le téléchargement illégal consiste à télécharger des fichiers protégés par des droits d’auteur sans l’autorisation des détenteurs des droits : musique, films, jeux vidéo, logiciels notamment. Vous souhaitez connaître la procédure mise en place par l’ Arcom (ex-CSA et Hadopi) si vous téléchargez, sans autorisation, des œuvres sans payer les droits d’auteurs ? Voici les informations à connaître.
Le téléchargement illégal est le fait d’acquérir ou d’accéder via internet à des œuvres (musique, films…) protégées par des droits d’auteurs et sans que soient rémunérés, d’une quelconque façon, les artistes et producteurs. On parle aussi parfois de piratage .
Le peer to peer ou partage en pair-à-pair. Grâce à un logiciel spécifique, vous téléchargez l’œuvre recherchée auprès d’autres internautes ayant obtenu la même œuvre par la même technique.
Le streaming ou diffusion en flux. Vous écoutez une chanson ou regardez un film directement sur un site internet sans téléchargement préalable.
Le téléchargement direct. Un lien vous mène directement vers le fichier désiré. Il est stocké par une seule personne.
Il existe plusieurs techniques pour se procurer ou accéder à des œuvres via internet.
Notamment :
Ces techniques ne sont pas illégales en elles-mêmes. Elles peuvent être utilisées aussi bien pour l’offre légale que pour l’offre illégale. L’internaute doit s’assurer de leur bon usage. Vous serez sanctionné uniquement pour l’utilisation de l’offre illégale.
L’Arcom repère uniquement l’utilisation illégale du peer-to-peer .
Vous êtes concernés si vous êtes le propriétaire de la connexion internet ayant servi au téléchargement illégal (celui qui a signé le contrat avec le fournisseur d’accès par internet). Même si ce n’est pas vous qui avez effectivement téléchargé.
Vous devez donc veiller au bon usage de votre connexion par vous-même et par vos proches, en particulier votre connexion WiFi (sans fil). Vous pouvez vous renseigner sur les moyens de sécuriser votre connexion auprès de votre fournisseur d’accès à internet.
La preuve sera faite non pas par le téléchargement en lui-même, mais par la mise à disposition illégale des œuvres. Une œuvre téléchargée en peer-to-peer devient en effet disponible pour d’autres internautes qui utilisent la même technique.
Il est interdit de télécharger sans autorisation et sans payer des œuvres artistiques couvertes par le droit d’auteur.
L’Arcom repère les connexions ayant servi à un téléchargement illégal. Vous serez donc identifié via votre fournisseur d’accès.
Dans les 2 mois, après le repérage, l’Arcom vous enverra un mail de recommandation rappelant les règles à respecter. L’adresse utilisée est celle qui est enregistrée auprès de votre fournisseur d’accès.
Ce mail ne précise pas quelles sont les œuvres concernées. Vous pouvez vous rapprocher de l’Arcom pour demander des précisions.
Si votre connexion est de nouveau repérée dans les 6 mois suivant l’envoi du 1er mail, vous recevrez un nouveau mail plus une lettre recommandée avec accusé de réception. Vous pourrez encore demander des précisions sur les œuvres concernées.
Si un 3ème repérage est effectué par l’Arcom dans les 12 mois suivants le 1er mail, vous recevrez une notification par voie postale vous informant que ces faits sont passibles de poursuites devant la justice.
Vous aurez alors 15 jours pour fournir des observations. Les démarches nécessaires seront précisées dans le courrier.
Votre cas sera ensuite examiné par la Commission de protection des droits de l’Arcom. Elle peut éventuellement vous convoquer. Vous pouvez aussi être entendu à votre demande. Dans tous les cas, vous pouvez vous faire assister par la personne de votre choix lors de votre audition, notamment un avocat.
La Commission décidera alors d’abandonner les poursuites ou de transmettre votre dossier au procureur.
Le procureur compétent est celui de votre domicile.
Si le dossier est transmis au parquet, ce dernier décidera de vous poursuivre ou non devant le tribunal de police.
Si le tribunal est saisi, vous serez jugé pour négligence caractérisée, c’est-à dire le fait de ne pas avoir veillé au bon usage de votre connexion internet.
La peine maximale est de 1 500 € d’amende.
Le procureur peut aussi prononcer une mesure alternative aux poursuites comme un rappel à la loi.
- Rechercher un site d’offre légale (films, musique, livres, jeux vidéo)
Il est possible de vérifier la légalité de tel ou tel service grâce à un site de l’Arcom :
Un site gratuit n’est pas forcément illégal. Il existe de nombreux sites légaux diffusant gratuitement des œuvres protégées. La rémunération des artistes et producteurs y est assurée par d’autres moyens, par la publicité notamment.
À l’inverse, certains sites de téléchargement proposent de payer un abonnement mais qui n’est pas reversé aux ayants droit. La diffusion d’œuvres protégées y est donc interdite.
Communications électroniques (téléphone, internet, télévision)
- Fiches pratiques sur la sécurisation de la connexion internet
Source : Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom) - Site officiel de l’Arcom
Source : Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom)
- Code de la propriété intellectuelle : articles L331-19 à L331-24
Envoi des recommandations aux abonnés - Code de la propriété intellectuelle : article R335-5
Contravention pour négligence caractérisée
Structure
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Annuaire des services municipaux: Service Urbanisme
Adresse : 3 bis rue des Écoles 91160 LongjumeauHoraires :
Du lundi au vendredi de 8h30 à 12h30 et de 13h30 à 18h00
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